A l'attention de l'ensemble des professeurs du Collège
Bonsoir à tous,
Ces derniers jours, il ne vous aura pas échappé qu'en bons fonctionnaires qu'ils sont, les photocopieurs de la salle des professeurs ont beaucoup rechigné à travailler - l'un d'eux allant jusqu'à feindre le bourrage papier pour décrocher l'arrêt-maladie tant convoité. Sont-ils astucieux, les petits canaillous !
Qu'à cela ne tienne, le dépanneur est passé cet après-midi et lui a remis les idées (ainsi que deux ou trois petites pièces mécaniques) en place. Mon alter ego de plastique et de boulons est donc à nouveau opérationnel.
Le dépanneur en a profité pour réinstaller le logiciel d'alerte à distance, qui indiquera au fournisseur nos besoins en encre avant même que les toners soient arrivés au bout du rouleau (car le logiciel a été formé à l'Ecole Médiumnique du Grand Semainier, il peut donc lire l'avenir dans les voyants digitaux). Par conséquent, nous ne devrions plus souffrir des pénuries intempestives qui nous ont ralenti ces derniers mois ("ralenti" étant le terme académique pour dire "fait hurler de colère en brandissant les poings en direction des cieux indifférents").
Cependant si cela devait se reproduire, le dépanneur (toujours lui) insiste sur la nécessité de ne pas essayer de tricher avec le toner (car le toner sait tout, car le toner voit tout, car le toner lit dans ton coeur). En effet, le secouer vigoureusement et le réinsérer ensuite ni vu ni connu constitue un sacrilège de première importance, passible de torture par le guili-guili. Accessoirement (et plus prosaïquement), le processus abime la machine, dont il met les capteurs sans dessus-dessous : comme un alcoolique le samedi soir après la sixième tournée générale, elle ne sait plus si elle est pleine, si elle est vide ou si elle est un éléphant rose.
D'avance, merci pour elle, et bonne soirée à tous (ayez soif de modération),
Le secrétariat de Direction
Bonsoir à tous,
Ces derniers jours, il ne vous aura pas échappé qu'en bons fonctionnaires qu'ils sont, les photocopieurs de la salle des professeurs ont beaucoup rechigné à travailler - l'un d'eux allant jusqu'à feindre le bourrage papier pour décrocher l'arrêt-maladie tant convoité. Sont-ils astucieux, les petits canaillous !
Qu'à cela ne tienne, le dépanneur est passé cet après-midi et lui a remis les idées (ainsi que deux ou trois petites pièces mécaniques) en place. Mon alter ego de plastique et de boulons est donc à nouveau opérationnel.
Le dépanneur en a profité pour réinstaller le logiciel d'alerte à distance, qui indiquera au fournisseur nos besoins en encre avant même que les toners soient arrivés au bout du rouleau (car le logiciel a été formé à l'Ecole Médiumnique du Grand Semainier, il peut donc lire l'avenir dans les voyants digitaux). Par conséquent, nous ne devrions plus souffrir des pénuries intempestives qui nous ont ralenti ces derniers mois ("ralenti" étant le terme académique pour dire "fait hurler de colère en brandissant les poings en direction des cieux indifférents").
Cependant si cela devait se reproduire, le dépanneur (toujours lui) insiste sur la nécessité de ne pas essayer de tricher avec le toner (car le toner sait tout, car le toner voit tout, car le toner lit dans ton coeur). En effet, le secouer vigoureusement et le réinsérer ensuite ni vu ni connu constitue un sacrilège de première importance, passible de torture par le guili-guili. Accessoirement (et plus prosaïquement), le processus abime la machine, dont il met les capteurs sans dessus-dessous : comme un alcoolique le samedi soir après la sixième tournée générale, elle ne sait plus si elle est pleine, si elle est vide ou si elle est un éléphant rose.
D'avance, merci pour elle, et bonne soirée à tous (ayez soif de modération),
Le secrétariat de Direction
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