Où, vacances oblige, le vendredi tombe un lundi, et où ça fait du bien quand même.
Ha ha !
Vous pensiez y échapper, cette fois, avouez-le !
Constatant qu'il n'arrivait pas, vous vous êtes dit : cette fois, ça y est, libéééérrrééééé, délivréééééé, on a réussi à le semeeeeeer.
Mais où que vous alliez, si vite que vous puissiez courir, le semainier vous retrouvera toujours.
TOUJOURS.
En gras et en capitales d'imprimerie, avec le coup de cymbale à la fin et le petit "popopopopoooooom" qui va de paire !
Le semainier court vite. Il s'est entraîné avec nos profs de sport.
Vous pourrez vous cacher au sommet de la plus haute montagne qu'il vous y attendra, pépère, assis devant un petit feu de camp, en train de faire griller les knackis de vos illusions (c'est une métaphore), en compagnie de son vieux pote Yéti (c'est une métaphore aussi. Sans doute. Enfin, je crois. Mais pas nécessairement. Le semainier est tout à fait capable de faire ami ami avec le vrai Yéti. Ils sont de la même trempe).
Plongeriez-vous au plus profond de l'océan que vous l'y trouveriez affublé d'une queue de sirène, prêt à vous chanter le programme de la semaine du 6 au 10 novembre sur l'air de Papaouté, jusqu'à ce que vous suppliiez votre équipage de vous détacher du mat de votre navire (encore une métaphore - ou bien les sirènes chantent du Jul, auquel cas on comprend qu'Ulysse ait essayé de se noyer pour faire cesser son supplice).
Il vous poursuivra jusque dans vos rêves les plus psychédéliques, peuplera de cliparts hideux vos hallucinations les plus has-been (mais quelle idée de vous envoyer cette boîte de conserve périmée, aussi ? Qui plus est à 23h30 !). Grâce à ses couleurs criardes et ses teintes mal assorties, sans fin, il vous fera revivre un Mai 68 de cauchemar, dans lequel vous êtes libres comme l'air oui, heureux et sans contraintes, mais jusqu'au 6 novembre seulement.
Il est là.
Dans ce mail.
Il vous regarde.
Il a transcendé sa nature première pour devenir une entité numérique.
Il est internet, désormais.
Où que soit celui-ci, il est.
La seule façon pour vous d'être plus fort que lui, c'est de le regarder le premier.
Vous souhaitant de très bonnes vacances - ainsi qu'au semainier qui me lit par dessus votre épaule,
Bien cordialement,
--
Le secrétaire de direction
Ha ha !
Vous pensiez y échapper, cette fois, avouez-le !
Constatant qu'il n'arrivait pas, vous vous êtes dit : cette fois, ça y est, libéééérrrééééé, délivréééééé, on a réussi à le semeeeeeer.
Mais où que vous alliez, si vite que vous puissiez courir, le semainier vous retrouvera toujours.
TOUJOURS.
En gras et en capitales d'imprimerie, avec le coup de cymbale à la fin et le petit "popopopopoooooom" qui va de paire !
Le semainier court vite. Il s'est entraîné avec nos profs de sport.
Vous pourrez vous cacher au sommet de la plus haute montagne qu'il vous y attendra, pépère, assis devant un petit feu de camp, en train de faire griller les knackis de vos illusions (c'est une métaphore), en compagnie de son vieux pote Yéti (c'est une métaphore aussi. Sans doute. Enfin, je crois. Mais pas nécessairement. Le semainier est tout à fait capable de faire ami ami avec le vrai Yéti. Ils sont de la même trempe).
Plongeriez-vous au plus profond de l'océan que vous l'y trouveriez affublé d'une queue de sirène, prêt à vous chanter le programme de la semaine du 6 au 10 novembre sur l'air de Papaouté, jusqu'à ce que vous suppliiez votre équipage de vous détacher du mat de votre navire (encore une métaphore - ou bien les sirènes chantent du Jul, auquel cas on comprend qu'Ulysse ait essayé de se noyer pour faire cesser son supplice).
Il vous poursuivra jusque dans vos rêves les plus psychédéliques, peuplera de cliparts hideux vos hallucinations les plus has-been (mais quelle idée de vous envoyer cette boîte de conserve périmée, aussi ? Qui plus est à 23h30 !). Grâce à ses couleurs criardes et ses teintes mal assorties, sans fin, il vous fera revivre un Mai 68 de cauchemar, dans lequel vous êtes libres comme l'air oui, heureux et sans contraintes, mais jusqu'au 6 novembre seulement.
Il est là.
Dans ce mail.
Il vous regarde.
Il a transcendé sa nature première pour devenir une entité numérique.
Il est internet, désormais.
Où que soit celui-ci, il est.
La seule façon pour vous d'être plus fort que lui, c'est de le regarder le premier.
Vous souhaitant de très bonnes vacances - ainsi qu'au semainier qui me lit par dessus votre épaule,
Bien cordialement,
--
Le secrétaire de direction
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