Où ni l'envie, ni l'inspiration ne sont de la partie, mais où c'est pas grave, on fera sans. Les gens qui lisent le semainier, qui sont-ils, que veulent-ils, quels sont leurs réseaux ? Une enquête exclusive d'Envoyé Spécial. On les dit discrets, anxieux, peut-être même un peu désœuvrés. Chaque semaine, ils sont plusieurs centaines... enfin, disons, plusieurs dizaines... enfin, disons, plusieurs un ou deux... enfin, disons, plusieurs tout seul, à consacrer de longues heures... enfin, disons, minutes... enfin, disons, secondes... enfin, disons dixièmes de secondes à la lecture de ce document iconographique d'un genre particulier. Enfin, disons, d'un genre baroque tendance rococo. Enfin, disons, d'un genre carrément moche et peu lisible. On lui prête des vertus prémonitoires, mystiques, peut-être aphrodisiaques (mais à la condition expresse d'avoir consommé son
Petites Grandeurs et Grandes Misères d'un Secrétaire de Direction