Où à l'aube d'un arrêt de travail de deux semaines, on se rêve indispensable.
Bonsoir à tous,
Vous connaissez l'adage : un seul être vous manque est tout est dépeuplé. J'imagine qu'il a été inventé exprès pour l'un ou l'autre de vos élèves - ceux-là qui, lorsqu'ils sont absents, vous donnent l'impression qu'ils ont embarqué vingt de leurs camarades.
Or la question se pose : cet adage est-il aussi valable pour les personnels de l'administration ?
Je vous propose de le vérifier in situ la semaine prochaine, puisque je vais devoir m'arrêter à compter de mardi jusqu'au lundi suivant (théoriquement) (comprenez-moi : en ce moment, les prix sont cassés pour les avions en partance pour Bali).
Comme les fins d'années sont toujours particulièrement denses pour les services administratifs, je vous saurais gré de ne pas surcharger mes estimés collègues durant mon absence (ils souffrent assez comme ça) et vous invite à me faire part de vos questions/demandes/récriminations/menaces par courriel sur mon adresse académique, que je m'efforcerai de relever régulièrement.
J'accepte aussi les photos rigolotes et les reconnaissances de dettes.
Je tâcherai de vous répondre dans les plus brefs délais.
En espérant que ça ne vous empêchera pas de passer un bon week-end quand même (je voyage en première classe et on m'a promis des sandwich poulet-mayo),
Bien cordialement,
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Le secrétaire de direction
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