Accéder au contenu principal

C'était pas ma Guerre, Colonel !

 Où faute d'avoir eu le temps de se concerter, le semainier est épais comme un sandwich SNCF de la veille, et où le service administratif en a plus bavé qu'un escargot de Bourgogne...

 

 

Bonsoir à tous,


A moins que vous ne soyez d'un naturel très distrait, il ne vous aura pas échappé que le collège a rouvert ses portes depuis une semaine (une seule, vraiment ? Certains services ne seraient pas de cet avis, ils en ont déjà enregistré dix neuf au compteur).

Durant ces cinq jours ensemble, nous avons pu découvrir de nouvelles demi-têtes, dire au-revoir à d'autres, nous familiariser avec notre nouvel environnement de travail et, pour les plus chanceux d'entre nous : nager dans la paperasse comme un week-end de tsunami sur la Côte d'Azur.

Or qui dit reprise, dit forcément semainier, que vous trouverez ci-joint.

A moins que vous ne soyez d'un naturel très très distrait, il ne vous échappera pas non plus que ce premier planning a un gros point commun avec ces masques qui sont devenus pour nous comme une seconde peau (réalisant par-là même l'un de nos rêves d'enfants : nous transformer en astronautes et en super-héros Marvel) : il a rétréci au lavage.

Mais rassurez-vous, le prochain s'annonce d'ores et déjà particulièrement fourni.

Vous souhaitant un très bon week-end,


Bien cordialement,

-- 
 
Le secrétaire de direction

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

L'Inclusion un point c'est tout

Où l'on reprend un peu la plume après quelques défections et messages paresseux, pour remettre les points à leur juste place, à savoi r : sur les i.   Bonsoir à tous, Au risque de vous choquer et en complément du planning ci-joint, figurez-vous qu'en 2024, aussi ubuesque que cela paraisse, il y a encore des gens qui utilisent l'écriture inclusive. Je sais. Moi aussi, ça m'a surpris, quand j'ai lu cette semaine " chef.fe.s " dans un mail rectoral, avant de courir me laver les yeux au gel hydroalcoolique (ça tombe bien, il en reste plein) (par contre, je comprends maintenant pourquoi mes parents m'ont appris que ce n'est pas bien de se rincer l’œil. En tout cas, je confirme que c'est très douloureux). Innocemment, quand les gourous de la socio ont lancé la mouvance pour se détendre entre deux ventes pyramidales (et sur le même principe), je m'étais dit : " bon, ok, c&#

It's the End of the Semainier as we know it (and I feel fine)

Où les conséquences (inattendues) du message de la semaine dernière nous contraignent à faire notre mea culpa et à mettre un terme à cette belle aventure. Bonsoir à tous, Comme attendu, vous trouverez ci-joint le planning (dense – mais sans les loups) de la semaine prochaine. Attention si vous prévoyez de l'imprimer : veillez à prévoir une ramette pleine et quatre cartouches de rechange (au moins). Et réservez un arpent de forêt Amazonienne pour parer à toute éventualité, tant qu'il en reste encore. * Concernant le message d'accompagnement, j'avais initialement prévu un briefing pour l'oral de DNB façon l' Ecole des Fans , avec une très belle imitation de Jacques Martin (y compris au niveau de l'abdomen), mais on a porté à mon attention cette semaine (à juste titre et avec beaucoup de bienveillance , c'était de circonstance) que les messages d'accompagnement en q

Coming Out

Où la triste actualité de ces dernières semaines a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase trop plein depuis longtemps, et où on troque l'humour contre le cri du coeur, quitte à se dévoiler plus qu'on ne le devrait.      Je me souviens d'Annecy, un autre, il y a longtemps. De la lumière, partout, surtout, du vert, du bleu, intenses, éblouissants, dans le ciel et la terre entre les montagnes et dans l'onde et sur le dos de l'herbe qui frissonne et les ronds qui clapotent en chœur parmi les vagues et le sillage des pédalos. Je m'y suis brûlé la rétine à force, brûlé les poumons d'inspirer trop fort, gavé de couchers de soleil jusqu'à vomir des arc-en-ciels. Je me souviens le vent. Je me souviens les voix, les rires sur les bateaux, ivres d'un éternel parfum de printemps couleur d'apéro en terrasse. Annecy, mes premières bouffées d'air. Mes premiers pleurs. Mes premiers cris