Où l'on s'octroie une petite pause plus ou moins méritée, non sans lâcher quelques lignes en freestyle total.
Bonsoir à tous,
Rendons-nous à l'évidence : il est 17h11 et je n'ai toujours pas écrit une seule ligne d'accompagnement (enfin, maintenant, si, du coup, mais vous m'avez compris : ça évolue en temps réel à chaque mot que je tape, qu'il ait du sens ou non, regardez : glabiglabu, ça marche, c'est la magie de l'écrit, tout évolue, tout se transforme, tout s'étire ad vitam, et notamment chez Proust, Flaubert ou dans les circulaires rectorales, aussi longtemps qu'on n'a pas l'indélicatesse d'insérer le signe "point". Ha mince. Perdu. Aux temps pour moi).
J'ai bien peur cette semaine qu'il faille vous en passer.
Ce dont vous n'aurez pas à vous passer, par contre, et là vous
allez tous soupirer d'aise, c'est du semainier joint, qui ne
saurait souffrir ni manque de temps, ni panne d'inspiration, ni (à
titre d'exemple tout à fait innocent) séance de cinéma au Pathé le
plus proche pour voir le film live des Chevaliers du Zodiaque, et
pouvoir se vanter ensuite d'être une des trois personnes en France
à l'avoir visionné sur grand écran avant qu'il soit supprimé de
l'affiche en catastrophe pour cause de "crime contre le 7ème
art" (en même temps, c'était ça ou le dernier Wes Anderson,
alors l'un dans l'autre...).
J'ai grand espoir d'y trouver quelques pistes de réflexion pour améliorer mes propres usages professionnels (car contrairement à moi, ils s'en vont toujours à l'attaque, en chantant une chanson bien haut) (même le lundi matin, c'est dire si ce sont des héros) et de quoi faire évoluer mes représentations quant à la place du 7ème Sens dans le cadre pédagogique. Ou celui de l'humour, a minima.
Vous souhaitant un très bon dernier long week-end,
Bien cordialement,
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